Un jour dompter le vent, à présent dompter sa source : qui aurait-cru qu’un jour l’Être Humain aurait eu la possibilité de contrôler ce gaz qui l’entoure depuis la nuit des temps ?
La puissance de l’époque où nous vivons actuellement nous la démontre à travers les nouvelles techniques utilisées.
L’air, qui es-tu ?
D‘un point de vue général, l’« air » fait penser directement à ce fameux fluide gazeux que nous respirons malgré le fait que nous ne pourrons ni le voir à l’œil nu, ni le toucher avec nos doigts.
En effet, il est bel et bien présent à nos côtés et nous pouvons le sentir à travers de minuscules brises, jusqu’à de souffles torrentiels, sans pouvoir déterminer d’où vient-il précisément.
Alors que sur un aspect plus ou moins objectif, l’air est dit omniprésent grâce à sa faculté à pouvoir remplir la majorité de l’atmosphère terrestre ainsi que certaines surfaces vides que nous rencontrons dans la vie quotidienne.
L’air, à quoi tu sers ?
Scientifiquement parlant, l’air est composé de plusieurs éléments que nous pouvons indiquer selon leurs volumes respectifs : environ 78 % de diazote, 21 % de dioxygène et moins de 1 % de gaz rares comme de l’argon, du néon, de l’hélium et du méthane sans oublier le dioxyde de carbone.
Cependant, le composant qui nous intéresse le plus est le dioxygène que nous appelons sous un terme plus familier : l’oxygène. Comme beaucoup de gens le savent, l’oxygène est le gaz qui permet à tout être vivant nécessitant de l’air de pouvoir vivre, que la forme de vie soit animale, végétale ou combustible (appelé aussi énergie). De fait, protéger l’environnement en vue de purifier ou limiter l’air devra être nécessaire pour que toutes espèces vivantes continuent à vivre.
L’air, comment t’utiliser ?
De base, pour l’exploiter il suffirait juste d’ouvrir grand les narines, aspirer un bon coup, puis expirer. Il s’agit là d’un piètre jeu d’enfant que tout le monde peut réaliser chez soi (à condition bien-sûr que ce dernier ait un nez pour pouvoir le faire).
Dans le cas contraire, si l’individu éprouve une difficulté respiratoire (à ne pas confondre avec une personne dépourvue de nez) ou que le sujet s’agit d’un animal, d’un végétal ou d’un objet, l’utilisation de l’air devient un peu plus compliquée. Effectivement, la procédure consiste juste à l’imbiber de gaz. Toutefois, si ce n’est pas possible pour diverses raisons, l’opération se fera à l’aide d’un dispositif spécifique.
L’air, comment fonctionnes-tu ?
Le fonctionnement de l’air se repose sur la capacité du sujet à l’absorber. Dans certains cas comme ceux des êtres vivants, l’oxygène ne peut-être retenu longtemps en son sein suite à la présence d’organes spécifiques qui renouvellent constamment l’air. Donc, lorsqu’une bouffée entre, une autre en sort.
Dans d’autres cas comme ceux des objets, n’importe quel gaz pourrait faire l’affaire, puisque ce ne sont que des compartiments vides qui ne disposent d’aucun organisme de ventilation.
Néanmoins, que le sujet soit vivant ou inerte, un dispositif est nécessaire pour que le gaz puisse fonctionner parfaitement : un appareil d’inhalation (qu’il soit d’origine organique ou d’origine mécanique). Chez les êtres vivants par exemple, l’appareil d’inhalation utilisé est l’appareil respiratoire c’est-à-dire les poumons, la trachée, le pharynx, etc … .
L’air, comment te dompter ?
Actuellement, on peut observer plusieurs objets ayant besoin d’une quantité d’air pour pouvoir marcher. Par exemple des ballons pour les amateurs de sport, des pneus pour les amateurs d’automobiles, des instruments à vent pour les amateurs de musique, des éoliennes pour les amateurs d’écologie ; etc.
Il existe plusieurs façons de maîtriser l’air, mais la plus connue de toutes est l’utilisation des intelligences mécaniques.Compresseur d’air, pompe à air, appareil à oxygène, filtre à air, réservoir d’air… sont celles que nous pouvons voir au quotidien.